Peyrot eut une moue gênée. Il ne savait que dire qui enfoncerait encore plus sa situation.
-"D'ordinaire, les... poireaux sont réservés au baron. Mais on peut p'testre ben faire une exception, l'est pas là.
En fait, y'a pas grand monde, un palefrenier, une cuisinère et femme de chambre et deux garçons de ferme. Et moi que mes pauv' jambes ont du mal à traisner."
Une quinte de toux le prit, et il s'appuya contre un arbre, qui donnait un peu d'ombre au potager, pour cracher ses glaires.